Nikaidou Satô... Un drâme derrière un sourire

[HJ Bon pour ceux et celles qui ne le sauraient pas c'est un double compte, celui de Lou, Lou Tsukichima, (la modo) voilà pour pas que vous pensiez que c'est un vieux pervers derrière l'écran... Ha hum enfin bref oui la présentation pardon O.O...]

Nom: Satô

Prénom: Nikaidou / Nikaidô

Surnoms: Nick, Bakaidô...

Sexe: Masculin

Age: 24 ans

Date de naissance: 15 Février 1985

Signe du Zodiaque :
[Européen] Verseau
[Chinois] Buffle

Aime:
-Flirter
-Ne rien prendre au sérieux
-Réveiller ses amis
-Faire son "psy"
-Les jeunes filles
-Le Saumon à la crème
-Le Perrier
-Voyager
-Bricoler
-La Mécanique
-S'occuper des animaux
-Se tourner les pouces
-Les gens comme lui
-Les pâtes à la carbonara
-Que tout soit rangé

Déteste:
-Les fouineurs(euses)
-Les vicieux
-Les voleurs et les menteurs,
-L'ognon
-Les insectes
-Les mecs trop mignons qui lui font rater ses pro... des filles...
-Qu'on lui pose trop de questions
-Les gens qui se plaignent
-Le désordre
-La saleté
-L'insolence
-La lâcheté
-Les plats Indiens


Plus Grande Qualité:
Sait extrêmement bien cacher ses émotions

Plus Grand Défaut:
Peut se laisser envahir par une haine soudaine et indomptable... (cf Histoire)

Magie:
Nikaidou Satô, ne possède en lui aucune sorte de magie qui soit, ce qui ne l'empêche pas d'en connaître l'existence... Ce qui ne l'empêche, en effet pas, d'en connaître bien plus que la moitié des sorciers et pour cause... (cf. Histoire)

Emploi dans le parc: Mécanicien

Emploi dans la vie: Professeur de Mécanique

Amour: (Si vous tenez à la vie... Par pitié n'abordez pas le sujet avec lui...)

Traits Physiques:
Nikaidou est un beau jeune homme d'une vingtaine d'années. Bien bâti bien que peut-être un peu maigrichon il est un vrai donjuan d'un point de vue purement physique. Ses yeux sont d'une couleur olive avec quelques nuances d'ambre. Son sourire innocent et son regard enfantin lui valent le plus grand nombre de retour de sourire dans une catégorie d'âge de 1 à 111 ans. Portant de petites lunettes par lesquelles il adore regarder les gens par en dessous. Ça lui donne un air « intelligent sous ses airs de grand niais » lui disait souvent sa marraine.

Caractère:
Nikaidou Satô est un homme très calme, ce qui lui sert d'ailleurs énormément dans sa profession. Comme il le dit toujours "Ah les gosses de nos jours, moi à mon âge..." Enfin ça tous les adultes le dise maintenant mais lui le répète avec un once de nostalgie et d'amusement. Toujours à l'écoute et très farceur c'est un bon vivant et un grand enfant dans l'âme. Plaisant à écouter il raconte avec passion les histoires les plus grotesques et il sait leur donner vie plus que n'importe qui. Dans le sens figuré bien sûr. Mais la plus grande passion de Nikaidou n'est pas de rire et plaisanter avec les enfants. Non, sa vraie passion, celle qui l'a fait grandir et se développer c'est la mécanique. Il voue à ses robots et autres machines une adoration et une curiosité sans limite comme un enfant devant un cadeau de noël. C'est aussi un homme avant tout alors il est vrai qu'il aime bien regarder les belles jeunes demoiselles... Peut-être un peu trop mais bon ça fait un bon copain pour Pélleas ça nan ? ... Le problème chez Nikaidou c'est que son apparence maladroite et farceuse ne dure qu'un temps, à cause de son histoire catastrophique il peut devenir d'un coup, odieux, machiavélique, pervers, sadique, manipulateur, paranoïaque, violent, impulsif et j'en passe. Lorsqu'il est dans cet état, mieux vaux ne pas être à côté ou pire, être la cause de cette crise de nerfs. Aujourd'hui il prend des calmants pour les limiter. Lorsqu'elles se manifestent, ses mains se mettent à trembler passé ce premier symptôme ses yeux s'obscurcissent d'une lueur malsaine et insondable. Ne restez pas à côté de lui pendant ses crises à moins que vous vouliez à tout prix finir à l'hôpital parce que s'il rentre dans une crise alors qu'il prend des calmants c'est que même inconsciemment vous aurez dit une énorme bêtise...


Histoire:
Le 15 Février 1985, devant un magnifique soleil levant, naquit un petit garçon que l'on nomma Nikaidou. Nikaidou Satô naquit donc le lendemain de la St Valentin. Désastre hasardeux ou bien pur machination astrale en tout cas sa date de naissance ne lui aura rien apporté de bon. Son père était un riche artisan qui avait fait fortune dans la vente de produit agricole dont il avait fait maintenant une entreprise renommée, lui, avait horreur de la mécanique et de l'informatique. "Ca abrutise les gens !" Disait-il toujours à son fils. Son seul et unique fils, ou plutôt enfant. Il l'avait eu avec une jeune femme ni laide ni belle. Ni riche ni pauvre, mais seulement par mariage arrangé.
Brillant dans toute sa scolarité, peu sociale et souvent enfermé dans sa chambre pour ses expériences de mécanique, Nikaidou s'inventa pendant toute son enfance, un monde de féerie... De magie et de Robotique. Là où le robot n'est pas au service mais bien l'ami de l'Homme. Dans ce petit monde qui dura jusqu'à ses années de collèges, Nikaidou avait un ami... Un petit œuf dans lequel vivait un tout petit être pareil à un humain. Il incarnait son rêve sa passion. Personne ne le voyait et ses parents désespéraient de le voir un jours leur présenter une petite copine ou un ami de l'école. Jamais il n'en ramena. Trop occupé avec ses robots et ses machines. Pour sa première année de collège, Nikaidou déménagea loin, très loin de l'endroit où il avait passé toute son enfance. Peu lui importait, il n'y avait pas d'amis puisqu'il n'en avait pas cherché. Mais un jour... Au beau milieu de sa deuxième année de collège n'ayant d'ailleurs toujours pas d'ami...

"-Nikaidou je n'en peux PLUS ! Tu comprends ça ?! Tu passes tes journées dans ta chambre tu restes des nuits entières à veiller sur... Sur ce truc. Cet œuf ! Mais il n'existe pas cet œuf ! Tu en parles dans ton sommeil tu lui fais des paniers tu le chouchoutes. Oui on t'as vu le faire ta mère et moi ! Mais t'as quoi dans le crâne ?! T'es associable ! T'as jamais eu d'amis ! T'es même pas foutu de te trouver une petite amie ! T'es un beau garçon, intelligent regarde ! T'as tout pour toi, TOUT. Mais t’en fait RIEN. Tu veux faire quoi plus tard ? Hein ?!Ingénieur fou ?! C'est quoi ton but mon fils !"

Nikaidou se fit crier dessus pendant plus de 2 heures ainsi. Les larmes coulant à flot sur ses joues rosies par les claques, il n'émettait plus aucun bruit autre que le pénible gloussement d'un enfant qui s'empêche d'éclater en sanglot. Qu'y pouvait-il ? Il n'avait rien fait de mal ! Mais c'était de sa faute... Et il l’avait bien mérité. Après tout comme lui avait dit son père à l'époque (1997) les robots ça passerai vite comme mode. Son rêve était en fait futile, il n'avait pas d'amis... Il n'était rien dans ce monde... Et dans ce hâtif jugement, sous la cascade de larme coulant sur son oreiller qu'il avait rejoins après la tempête il vit en levant la tête, son rêve, sa passion, son enfance... Partir en fumée.

"-Nikaidou... Tu ne crois plus en moi... Mais sache une chose vit toujours ta passion et peut-être qu'on jour nous nous reverrons... Au revoir Nikaidou Satô, mon ami."

Ouvrant grand ses yeux interloqués il s'aperçut de sa bête pensée. Comment avait-il pu penser ça ?! Il poussa alors un long et déchirant cri. Sa mère apeurée rentra en trombe dans sa chambre.

Nikaidou se débâtait comme un diable du haut de ses 12 ans. Sa mère avait du mal à le retenir quand son père entra lui aussi dans sa chambre... Un bâton à la main.

"-Tu n'est qu'un bon à rien ! Tu ne sais qu'inventer des œufs pourris à la mécanique fictive et sans futur ! Tu n'es rien dans ce monde tu ne deviendras rien ! On se tue depuis 12 ans à te faire vivre pour que tu sois enfermé 24 heures sur 24 dans ta chambre avec tes robots minable !" Cracha son père.

Nikaidou s'immobilisa alors d'un coup, puis il fut comme possédé. Son père, à qui il avait toujours donné parfaite obéissance, à qui il avait prouvé qu'il était probablement l'égal d'un génie à l'école avait piteusement et tout naturellement anéanti, brisé, tué son espoir. Oui son père trouvait la mécanique stupide et "larvisante" mais de là à lui avoir fait croire pendant plus de deux heures qu'il n'y arriverait jamais et qu'il n'était bon à RIEN... A cause de Lui son ami... SON ami avec qui il partageait tout depuis le jour où sa passion était née. A cause de LUI il avait douté de son ami, mais maintenant il L'avait tué... Oui à travers de son pauvre esprit manipulé IL avait fait disparaître son confident. Commençant à se faire roué de coups, Nikaidou reprit enfin ses esprits... Enfin pas tellement puisqu'une lueur malsaine, démoniaque, machiavélique brula d'un coup dans ses yeux. Même maigrichon à lunette qu'il était il saisit le bâton qui le frappait et le blessait depuis maintenant quelques secondes déjà. Son père essaya de le défaire de cette emprise mais rien n'y faisait, il était doté comme d'une sorte de force dont l'origine était inconnue... Magique...? Nikaidou reprit violemment le bâton et le brisa, se releva et pris les poignets de son père entre ses mains sous les pleurs de sa mère. Qu'allait-il faire ? Le frapper ? Non. Il l'immobilisa juste avec son regard, un regard qui faisait froid dans le dos. Il articula difficilement sous la pression les même paroles que précédemment mais adressé à la bonne personne cette fois :

"-C'est de TA faute c'est de TA faute !!! Tu m’as dupé TU m’as trompé !!! Tu L’as Tué Tu L'a Tué !!!!!! JE TE HAIS JE TE HAIS !!! "

Mais sa mère qui avait précipitamment appelé une ambulance pour lui faire part de la situation et avait reçu d'eux l'ordre de le neutraliser, se vit forcée de lui injecter une seringue d'un puissant calmant. En effet je ne l'ai pas mentionné plus tôt mais elle travaillait dans un hôpital psychiatrique et se devait d'avoir toujours ça sur elle, au cas où...

Ce soir là, Nikaidou fut transporté en ambulance jusqu'à une maison pour adolescents où il y resta jusqu'à sa majorité. Durant toutes ces années il ne toléra que les très rares visites de sa mère qu'il aimait encore assez pour lui avoir pardonné son geste uniquement protecteur. Durant ces années donc, Nikaidou fut suivit de très près par toute une série de spécialistes avec lesquels il s'entendait très bien d'ailleurs. Personne ne le considérait comme fou, juste dangereux à cause d'Elles. Elles... Ses crises. A chaque fois que quelque chose lui rappelait son père il partait dans une folie monstre et n'en ressortait que plusieurs jours de cures intensives. Voir les autres adolescents lui était en revanche vital. Il fit entre autre la connaissance de Maria... Maria Yamamoto. Ils étaient devenus très vite très proches. Elle lui rappelait son ami perdu... Il l'adulait elle et sa façon de voir les choses, elle ne lui raconta jamais comment elle était arrivée ici. Prétextant avoir un trou sur sa vie d'avant... Un trou de quinze ans... hormis son nom et prénom. Mais un jour alors que lui racontait son histoire après plusieurs années d'amitié fidèle elle le ou plutôt "la" montra. Son petit ange à elle, son rêve devenu petit être. Nikaidou en pleura et lui expliqua alors (puisqu'il n'était pas encore arrivé à comment le sien était disparu) pourquoi le sien, son ange... N'existait plus. En repensant à son père ses mains se mirent à trembler, mais Maria posa ses propres mains sur les siennes et murmura.

"-Bakaidou ! Tu ne peux pas te mettre dans cet état cause de cet homme qui a t'a fait perdre ta raison de vivre ! Regarde de moi ! Mon petit ange et moi on va t'aider. Okay alors arrête de trembler baka, demain c'est ton anniversaire !"

Elle déposa un furtif petit baiser sur les lèvres de l'intéressé qui se calma immédiatement. Sa première... Sa première petite amie. Il ne l’oublierait jamais. Ils formaient un petit couple idéal au sein de la maison pour adolescents. Leur jolie petite histoire fut même acceuillie d'un très bon œil par les médecins qui constataient le nombre de crise diminué de jour en jour. Son père prenant des nouvelles de son état (non pas par amour mais par soucis d'économies) appris qu'il allait mieux. Il voulait le faire sortir. Les médecins n'étant pas fous, firent trainer les choses et permirent à Nikaidou de vivre pendant près de 3 ans encore son idylle. Il avait rencontré Maria à 15 ans et maintenant il en avait 18... Moins un jour quand son père décida de le retirer. Personne ne pus l'en empêcher cette fois ci. Le 14 Février alors que Nikaidou attendait que sa belle Maria ne rentre d'une visite de chez le médecin on le retira précipitamment de la maison.
Son père l'attendait dans une voiture où l'on l'attacha. On lui avait injecté suffisamment de produit pour qu'il ne puisse pas faire de crise et qu'il ne se rende compte de rien. Il rentra chez lui. Quatre jours après il se réveilla... Il n'y avait que sa mère. Son père était parti, il ne reviendrai plus. Sa pauvre mère, était à présent seule. Son père était conscient que le retirer de la maison était une chose de plus que ne lui pardonnerait jamais son fils... Après l'y avoir fait rentrer.
Il pensait Nikaidou capable de le tuer pour ça. Il n'avait pas tort. Avant de rentrer de nouveau dans une crise Nikaidou eu un moment de lucidité... Et Maria ? Il n'y avait plus de Maria. Partie de la maison sans laisser de trace... Le 15 Février, jour de ses 18 ans... Après la St Valentin... Alors qu'il était sous tranquillisants.

Pendant les 6 années qui suivirent, Nikaidou se renseigna de toutes les manières possibles sur la magie, en continuant de brillantes études... Il savait presque tout, du contrôle de la matière à sa destruction, du plus petit faiseur de passe-passe au plus doué des magiciens. Il savait tout parce qu'il savait à présent, grâce à sa chère Maria, que si son père n'était pas magicien il n'aurait pas pu voir l'œuf. Or Nikaidou était sûr qu'il l'avait vu... Il ne leur en avait jamais parlé. Son père maitrisait la magie, il avait du faire fortune ainsi, quel tricheur. S'il voulait le retrouver et lui faire tout payer, l'œuf, sa mère, Maria, l'"asile"... Il ne pourrait pas le retrouver sans l'aide de la magie. Ne la possédant pas il devait tout savoir d'elle pour pouvoir le retrouver. Il avait donc passé 6 ans de sa vie à tout savoir sur la magie. Et à rechercher Maria... Mais de ce côté là... Rien...
Un jour alors qu'il était à la mairie d'une petite ville pour postuler en tant que professeur de mécanique dans un collège il remarqua une petite affichette... Un parc d'attraction. "Akizuki No Wonderland" Oui... Il se souvenait de ce nom... Plusieurs magiciens lui en avait parlé, une petite magicienne avait reprit l'affaire de son grand-père magicien lui-même, à 14 ans. Quelle courageuse petite s'était toujours dit Nikaidou... Mais là où il y avait de la magie il irait... Pour lui, pour sa mère... Pour Maria...

"Qui sait on a peut-être besoin d'un mécano dans ce parc ?" pensa Nikaidou penché sur l'affiche... Un sourire en coin désignant une bien grosse idée derrière la tête...

Bon ben t'es revalidée vachounette.
L'histoire du double poste me convient très bien. Re-welcome. ~