Bara Kurenaii ~

Nom : Kurenaii

Prénom : Bara

Sexe : Féminin (Comment vous voulez être neutre? Oo)

Âge : 17 ans

Emploi dans le parc : Serveuse

Magie : En connait l'existence puisqu'elle la pratique : Manie à volonté le Son & Peut se métamorphoser en Chat

Traits Physiques : Un corps banal avec seulement quelques petites choses en plus... Bara est une jeune fille presque comme les autres. A 17 ans, elle possède un corps fin, très enviable, à une exception près : elle a très peu de poitrine. Sa peau blanche est aussi douce que la soie, aussi douce que celle d'un bébé. L'été, elle ne bronze pas. Elle n'attrape pas non plus de coup de soleil, elle reste blanche. Elle possède une belle chevelure d'un rose très clair, longue derrière, avec juste deux mèches plus courtes encadrant son visage, et une frange lui tombant au dessus des yeux. Son visage parrait innocent, une certaine pureté apparaissant dans ses iris violets.
Elle porte des vêtements à son goût, changeant de style quasiment chaque jour : de la robe enfantine au mini haut/mini jupe/bottes en cuir style rock, en passant par la longue robe gothique et la petite tenue sexy.
Passons à ces détails qui la font sortir du lot... Dans ses cheveux ressortent deux oreilles de la même couleur que ceux-là, et sur son derrière est greffé une queue de chat de la même couleur. Très étrange...

Caractère : Le caractère de Bara change selon les personnes présentes. En effet, si ce sont des personnes à caractère fort, voulant s'imposer par rapport à elle, elle devient toute docile, tête basse, n'exprimant pas ses propres idées, impressions et sentiments si on ne le lui demande pas. Au contraire, en compagnie de caractères faibles, ou même de caractères fort ne cherchant pas à la soumettre, elle devient une vraie boule d'énergie, disant tout ce qu'elle pense et pensant tout ce qu'elle dit, exprimant son avis même sans qu'on lui demande, une petite bavarde trop curieuse.
Dans ces moments là, Bara sourit et rit tout le temps, n'hésite pas à aller vers les autres, s'entend bien avec quasiment tout le Monde malgré son don et son goût pour embêter les gens. Dans la rue, dans ces crises de folie, n'importe qui vous dira qu'elle passe pour une folle. Mais on ne la prend par pour une folle car on la connait, tout le Monde la connait, de son grand réseau social et son petit boulot.
A côté de ça, elle est une grande fan de Musique, surtout de rock, mais de tous les genres en général. Elle possède une magnifique voix quand elle chante, mais...

Histoire :

La première fois que je l’ai vu, Bara n’avait que 2 mois, je me rappelle encore de ce jour alors que je n’avais moi-même que 3 ans. C’était en plein hiver, un dimanche je crois. Maman allait me mettre au lit quand on sonna à la porte. Papa n’était pas encore rentré, surement se soulait-il à cette heure là… Depuis qu’il était au chômage, il disparaissait chaque soir… Donc Maman descendit sans me poser, et alla ouvrir. C’était une grande dame qui se trouvait derrière, emmitouflée dans un manteau chaud, il neigeait. Je ne peux revoir son visage, je ne me souviens que de sa silhouette. Elle tenait quelque chose dans ses bras, un paquet ? Elle nous le tendit en nous suppliant d’accepter, je ne comprenais pas de quoi elle parlait, mais Maman le savait, je le voyais à son expression sérieuse. Elle me calla contre elle, ne me tenant alors plus que d’un bras, et fit signe à la dame d’entrer, refermant la porte derrière nous trois. Je me retrouvais par la suite assis dans le canapé, avec à ma droite mon meilleur ami, garde du corps et chien : Ichigo, et à ma gauche la grande inconnue. Je semblais vraiment minus au milieu de tous ces grands (Ichigo était un labrador de 2 ans, soit physiquement une ou deux fois ma taille), j’étais bien loin de me douter qu’un être encore plus petit était présent. Je scrutais à nouveau le paquet posé dans les bras d’inconnue. Il m’intriguait, je n’écoutais même pas ce qu’elles se disaient, seul lui captait mon attention. Au bout de quelques minutes, un bruit en émana, bruit qui s’intensifia mais qui resta comme étouffé. On aurait dit des cris… Maman l’avait aussi remarqué.
« Libérez la de ce chiffon, j’accepte votre marché »
Je n’avais jamais vu Maman aussi froide… Un sourire apparu sur les lèvres de l’inconnue qui retira sa capuche avant de commencer à défaire le paquet. J’avais déjà vu quelque part ces longs cheveux couleur des Roses, mais ma mémoire n’était encore assez développée. Le chiffon tomba au sol, laissant à découvert… Une poupée ? Un petit corps de couleur chair. On aurait dit un enfant, mais il était si petit… Maman se leva, prit le corps entre ses mains et la dame repartit.
« Mama… Qu’est-ce que c’est ?
- Ta nouvelle petite sœur, Masataka»
J’étais encore trop jeune pour savoir comment les bébés naissaient, et surement pensai-je à ce moment que l’inconnue était une envoyée de la cigogne.
« Comment veux-tu l’appeler poussin ?
- Eto… Bara ! »

C’est ainsi que je rencontrais mon adorable petite sœur…

Plus elle grandissait, plus elle ressemblait à une poupée. Ses yeux qui étaient à l’origine d’une teinte sombre, quasi-noire, prirent une teinte plus ou moins claire, entre la lavande et la prune selon les jours et les humeurs. Ses cheveux poussèrent rapidement, tout aussi roses que ceux de la dame qui nous l’avait amenée.

Une grosse remise en question de ma part surgit l’année de mes 7 ans, quand j’appris « comment on fait les bébés »… Je n’avais jamais vu Maman enceinte, elle n’avait pas accouché de Bara à l’hôpital, alors comment ? C’est ainsi que, alors que la petite princesse dormait, on me fit part de la vérité quant à la véritable nature de Bara. Elle n’était pas ma sœur. On m’avait mentit. Je me suis beaucoup éloigné d’elle à cette époque… Avant ça, nous ne nous quittions jamais, elle comprit que quelque chose clochait, mais, dans son habituelle discrétion, elle ne me demanda rien. Je pense qu’elle avait peur de connaitre la vérité, elle était très intelligente pour son âge : à seulement 4 ans, elle portait déjà son attention sur notre très grande différence physique.

Qu’est-ce qui m’a fait réfléchir ? La mort d'Ichigo. J’avais 10 ans. Maman était venue nous chercher à l’école avec lui mais sur le chemin du retour, nous avions croisé une dame âgée qui avait besoin d’aider pour porter ses courses. Maman, ayant un grand cœur, se porta volontaire et me confia la tâche de rentrer avec Bara, sans jamais lui lâcher la main. Nous sommes donc partie en direction de la maison, Bara, Ichigo et moi, alors que Maman et la vieille dame s’éloignaient de l’autre côté. Dès que ces dernières nous eurent plus dans leur champ de vision, je lâchai la main de ma sœur, dégoutée par elle, car elle ne l’était pas véritablement. Je lui ordonnai de ne pas rester à côté de moi et traversai la route avec Ichigo. Je crois bien qu’une larme a coulé sur sa joue, mais à l’époque je m’en fichais. Quelques centaines de mètres plus loin, j’entendis les cris de Bara, elle hurlait mon prénom… Je me retournai rapidement, elle était en plein milieu de la route. J’étais pétrifié. Je n’arrivais pas à lui dire de vite traverser, de bouger, de…
Ichigo, lui, n’hésita pas une seconde et couru jusqu’à elle. Une voiture arrivait à toute vitesse. Je n’entendis qu’un bruit. BOUM.
J’ai pleuré, je ne savais si c’était Bara ou Ichigo qui avait été heurté, mais je pleurai, comme jamais je n’avais pleuré. La voiture s’arrêta. Le chauffeur descendit. Une masse de gens accouru pour entourer, aider, sauver ma sœur et mon chien… Je tombais à genoux, un homme me porta et m’emmena au milieu de la foule. Je ne voulais pas voir… J’entendis au loin le son récurant d’une sirène d’ambulance. On me mit à l’intérieur avec les autres. Je pleurais trop pour distinguer quoi que ce soit. Je ne me souviens pas de l’heure qui a suivit, juste de la douleur intense dans mon cœur quand j’ai compris que Ichigo était mort, et en même temps du soulagement éprouvé pour ma sœur saine et sauve. Je jurai alors sur mon âme de ne plus jamais la laisser seule, de toujours la protéger comme l’avait fait Ichigo au péril de sa vie. A son réveil, elle fut très surprise de me voir à son chevet, lui tenant la main…

Les années qui suivirent furent emplies de bonheur et d’amour.

Je me souviens d’un autre jour, je devais avoir 14 ou 15 ans, le jour où j’ai découvert le don de ma sœur.
Ma petite amie m’avait tiré avec d’autres de nos potes dans un karaoké. C’était la première fois que j’y allais. Et bien sur, Bara, ne me lâchant jamais d’une semelle, nous avait suivis. Nous nous sommes beaucoup amusés cet après-midi là à chanter les uns après les autres. Alors que l’heure arrivait pour nous de rentrer, Bara me tira par le bras, elle voulait chanter elle aussi. Je l’accompagnais demander une chanson au guichet puis retournai m’assoir auprès de ma jalouse petite amie. Ma ravissante sœur avait choisit de chanter une vieille chanson des Scorpions, pas le style de musique que j’écoutais habituellement. A peine ouvrit-elle la bouche que je partis pour 6 minutes de transe totale. Sa voix était merveilleuse. Toutes les paroles ne reviennent pas dans ma mémoire, seule une phrase souvent répétée : « I’m still loving you ». A la fin du morceau, un tonnerre d’applaudissements retentit dans la salle. Sa voix m’avait chamboulé mais je ne pu réprimer un sourire en la voyant rougir jusqu’à oreilles et descendre en courant de la scène, toute gênée, pour se cacher dans mes bras.

Jamais je n’oublierai la douceur de ses cheveux…

Son premier petit ami, quelques années plus tard, était dans ma classe. C’était un « bad boy », toujours à draguer, se taper un maximum de filles en les faisant craquer grâce à sa guitare. Je dois avouer qu’il jouait bien, mais voir ma sœur dans ses bras me… Je crois que c’était de la jalousie. C’est à ce moment que je me suis mis, moi aussi, à la guitare, pour rivaliser avec ce coureur de jupons qui allait faire souffrir ma précieuse Bara. Etait-ce une erreur de ma part ? En tout cas, quelques mois plus tard, elle le laissa tomber. Je n’ai jamais osé lui demander si il l’avait touchée, voire plus…

Avec trois amis, nous avons créé notre groupe. Bara n’est pas ressortie avec d’autres garçons et je n’ai eu aucune petite amie. Chaque fois qu’elle chantait, j’étais envouté. Sa voix était magnifique. J’adorais quand elle chantait en français, elle maitrisait cette langue couramment.

L’année suivante, la dernière pour moi au lycée, fut la plus intense.

Un soir, alors que l’orage grondait à l’extérieur, ma ravissante sœur vint me rejoindre dans mon lit…
« Nii Nii, j’arrive pas à dormir avec le bruit… J’ai peur… Je peux dormir avec toi ? »
Elle avait toujours eu peur de l’orage, peut-être un souvenir de son arrivée dans la tempête de neige… Je ne pu refuser et elle se glissa sous la couverture, se lovant entre mes bras. Je sentais son souffle chaud sur mon épaule. Je laissai mes mains caresser son dos, pour la rassurer. Celle-ci se colla encore plus à moi… Je n’avais pas remarqué avant cette nuit là que son corps avait changée. Son bassin contre le mien me lança une vague de chaleur. Ses seins déjà bien formés, dénudés sous sa légère nuisette, contre mon torse nu, m’emplissaient de désir et d’excitation. Je connaissais cette sensation, c’était la même que celle ressentie avec mes précédentes petites amies, sauf que là c’était plus fort… Et surtout je ne pouvais me laisser aller. Le fruit dans mes bras m’était interdit. J’aurai tout donné pour le croquer. Son corps tout entier me demandait silencieusement de le faire, mais ce serait la souiller… Je risquai l’enfer si je goutais à ce paradis.
« Dis…
- Hum… Oui ?
-Tu n’es pas vraiment mon frère, n’est-ce pas ? »
Elle releva la tête vers mon visage et plongea son regard dans le mien. Je baissai les yeux et hochai la tête. Jamais je n’aurais pensé qu’elle puisse être aussi entreprenante… Elle ne douta pas une seconde et m’embrassa. Je ne pouvais résister à sa tentation… L’impensable arriva. Heureusement que nos parents étaient absents car ni l’un ni l’autre ne su étouffer son plaisir. A seulement 14 ans, Bara perdit sa virginité, et son voleur était désormais destiné à l’enfer… Mais je ne regrette pas, cette nuit fut la plus belle de ma vie.

La vie continuait à son rythme, la journée en cours, le soir à répéter avec le groupe, la nuit dans les bras l’un de l’autre. Durant nos répèts, Bara disparaissait souvent un quart d’heure ou une demi-heure en même temps qu’un des trois gars qui composaient le groupe avec nous, et je la soupçonne encore de se les être fait, mais je ne peux lui en vouloir, je n’étais pas le meilleur des amants… Quand ils revenaient, nous enregistrions encore et encore, on essayait de faire un CD…

Mais un évènement vint bouleverser tout cela. C’était il y a une dizaine de mois. Je ne m’étendrai pas sur ce sujet. C’est un souvenir assez douloureux… J’y ai perdu l’usage de mon bras gauche.
Le groupe s’est séparé par ma faute et… Bara a décidé de ne plus chanter… J’ai eu beau tout faire pour la convaincre, jamais elle ne m’a écouté.
Encore il y a deux semaines elle m’a dit que le groupe ne lui manque absolument pas, mais elle ne sait pas que j’ai vu nos compos dans les dernières musiques écoutées sur son ordi. Pourquoi vous ai-je raconté tout ça ? J’y viens…

Ca s’est passé la semaine dernière, alors que Bara allait partir pour son premier jour de cours en dernière année. A 7h du matin, un klaxon s’est fit entendre en bas de chez nous. Papa est allé voir et, surpris par la taille de la voiture, a appelé Maman. Vu la tête qu’elle a fait en regardant par la fenêtre, j’ai tout de suite compris que c’était quelqu’un dont la venue n’était pas appréciée. C’est moi qui suis sorti le premier de la maison. Un homme très élégant attendait, adossé à la limousine qui avait tant étonné mon père.
« Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ?
- Je suis venu chercher la fille de Bridgess que nous avons confiée à vos parents. »
Je tombais de haut… Bridgess, je revu ses grands cheveux roses et compris. Bara était la fille d’une grande chanteuse française, c’est dont de là que lui venait sa voix… Ils voulaient me l’enlever ??? Mon cœur battait si fort dans ma poitrine que j’avais mal.
« Pourquoi ?! Vous n’avez pas le droit ! Jamais !
- Sa mère regrette de l’avoir abandonnée, elle est très malade, elle la veut auprès d’elle pour les derniers mois qu’elle a à vivre.
- Non… »
Bara sortit à ce moment de la maison et vint à côté de moi.
« Je ne veux pas…
- Je ne te laisse pas le choix Miss, je suis ton père et tu dois m’obéir »
Elle ferma les yeux et rentra, surement pour faire sa valise… J’essuyais les larmes coulant de mes yeux, brulant de haine pour ce père qui ne s’était jamais occupé d’elle mais qui osait malgré ça la retirer de sa vraie famille…
Maman pleurai, Papa était sous le choc. Ma princesse redescendit, serra tour à tour nos parents puis vint mettre ses bagages dans la limousine avant de revenir face à moi. Elle glissa ses mains dans les miennes et me souffla quelques mots.
« Ne m’oublie pas mon amour, je reviendrai, je te le promets. »
Elle m’embrasse rapidement, malgré nos parents nous regardant, une dernière fois…
« Je t’aime et t’aimerai toujours. »
Elle monta dans la voiture. Je ne voulais pas. On m’arrachait le cœur. On m’enlevait mon air. J’avais mal…

La limousine démarra et partit, les vitres teintées m’empêchaient de la voir mais je sais qu’elle pleurait tout autant que moi.
Je t’attendrai Bara, toujours.

Mastaka Kurenaii

14 juillet ****
Aujourd'hui nous perdons une grande voix. Bridgess, chanteuse plusieurs fois reconnues vient de mourir. Elle laisse derrière elle un Mari sombrant dans la dépression et une fille à peine retrouvée.

(La mort de Bridgess a entrainé la découverte du pouvoir de Bara, qui s'est réfugiée dans un Parc nommé Akizuki our se cacher des regards sur ses nouveaux attributs de chat...)

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Code : Code validé par Nina.

Comment avez-vous découvert le forum? : Un Top-Site sur lequel j'étais allée pour voter pour un autre fow xD

Ohayo :DD

Désolée, étant donné que c'est les vacances, et que y'a ni d'Amin, ni de Modos sur le fow', c'est moi ( et les autres membres) qui accueillent les p'tits nouveaux inscrits :)

J'aime beaucoup ton histoire. C'est bien écrit et tout, mais y'a un point que j'aimerai que tu développes peut-être un peu plus... D'un côté, chuis ni modos ou quoi que ce soit, mais bon, c'est toujours bien de donner son avis, non ? Bah, j'vais te le dire quand même, et après, tu vois. Enfin, tu vois, et après, l'Admin verra, d'accord ?
Donc, je pense que ça serait bien que tu développes le fait qu'elle découvre le parc Akizuki. Enfin, comment elle le connaît quoi. Ou comment elle y est rentrée. Tu vois ?

Enfin, tu fais comme tu veux. Mais je te le dis, j'aime beaucoup ton histoire. Grrr ;)

Enfin bon, bienvenue, bienvenue :D
Sinon, à part ça, tu peux commencer à RP.

(Et aussi, comme tu viens de découvrir, tu peux participer aux concours organiser sur le fow' pour les grandes vacances d'été : la recherche des canards cachés, et le concours de dessins !)

Désolée du retard. Bienvenue à toi. :3 Je valide ta présentation, bon RP. ~

J'aime bien l'histoire. Ça me rappelle Contes d'Adolescence... XD